vineri, 3 august 2012

et quand tu mens...


Je trouve dans tes yeux une infantile sincérité,
Parfois, derrière ton âme, tu caches ta fuite…
Tu m’dis des choses – j’attends toujours la suite,
Mais quand tu mens, tu dis, peut-être, la vérité.

T’as peur, je vois, de tout c’que tu ressens,
Devant ta peau, devant tes gestes je suis tout nu;
La vie n’est pas une page d’un livre inconnu –
Même si tu m’dis la vérité, peut-être, tu mens.

Et si un jour je dois quitter ce drôle de conte de fée,
Alors qu’il n’y a rien encore à se promettre,
Et à la fin tu n’auras plus de moi que cette lettre –
J’ai bien menti, crois-tu? Ou t’ai-je dit la vérité? 

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